Le
centre-ville de Detroit continue sa transformation avec l'aménagement du
secteur de Paradise Valley prévu en 2020. Ce projet urbain a franchi une étape
importante mercredi dernier puisque l'organisme Detroit Downtown
Development Authority a retenu les cinq équipes qui définiront les plans.
Un district culturel à 52 millions de dollars
L'objectif de ce projet est de mettre en avant la culture afro-américaine. Le choix du lieu n'est pas anodin, il s'agit là encore de procéder à une renaissance. Ainsi, autrefois très présente dans ce secteur de Detroit et qui fut longtemps considéré comme le cœur culturel de la ville, ce district s'était progressivement effacé, ce mouvement est désormais inversé. Le développement de ce quartier s’appuiera notamment sur la construction et la rénovation d'immeubles résidentiels, d'hôtels mais aussi d'un club de jazz en s'inspirant de l'architecture Art Déco du Detroit du début du XIXeme siècle.
The City of Detroit's long-delayed revitalization of the downtown district known as Paradise Valley took a major step forward Wednesday with the selection of five teams to redevelop multiple buildings there.
Including the cost of buying the buildings from the city, the five teams will invest at least $52 million in the district formerly known as Harmonie Park. The city renamed the small tree-lined enclave several years ago to evoke the lost vibrancy of the old Paradise Valley district wiped out by urban renewal in the 1950s.
The five teams will create a range of new projects, including a boutique hotel, dozens of new residential apartments, retail and office space, a jazz club, more parking,and more.
(...)
Paradise Valley redevelopment projects include a boutique hotel, apartments, office and retail space.
(...)
Once known as Harmonie Park, the district on the east side of downtown was renamed by the city several years ago to evoke the lost Paradise Valley area wiped out by urban renewal a half-century ago. Its future has been debated for years as many want to ensure that Detroit's renaissance includes a strong dose of African-American culture.
Extrait d’un article du Detroit Free Press publié le 29.06.2016
Journaliste : John Gallagher
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